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Napoléon et les Cent-Jours

Dernière mise à jour de cette page le 01/04/2016

Cantons concernés : Aiacciu

Le 1er mars, Napoléon débarque à Vallauris, en plein jour, au vu de tous. Commence alors une longue marche, ce que l’on appelle, le « Vol de l’Aigle » : Cannes, Castellane, Digne-les-Bains, puis Sisteron. Le général Cambronne commande l’avant-garde de la petite armée. Sur le chemin, Napoléon et ses hommes croisent les soldats du 5e d’infanterie de ligne. Il crie alors en ouvrant sa redingote : « Soldats du 5e ! Reconnaissez-vous votre Empereur ! S’il en est qui veut le tuer, me voilà ! ». Les soldats du 5e d’infanterie de ligne sont les premiers à se rallier à l’Empereur.

Puis Napoléon rejoint Grenoble, où il est accueilli aux cris de « Vive l’Empereur », puis Lyon. Lorsque l’Empereur se rapproche de Paris, Louis XVIII et de nombreux ministres se rendent à Beauvais. L’armée de Napoléon ne cesse de grossir. A Fossard, les hommes du 13e dragons de l’armée du duc de Berry rallie l’armée de l’Empereur. Lorsque Napoléon gagne Fontainebleau, il ignore que Louis XVIII a quitté Paris. Il redoute un soulèvement populaire et un bain de sang. Le lendemain, Napoléon entre dans Paris et le drapeau tricolore flotte aux Tuileries et aux Invalides.

Suite - De Waterloo à Sainte-Hélène

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